Peu de sujets religieux ont fait couler autant d’encre que le sacrifice. En confrontant visions chrétiennes et taoïstes, peut-on en dire quelque chose de nouveau ? Dernière conférence d’une série de dialogues sur des sujets proches : « Ciel/terre : quel sens métaphorique ? » ; « L’idéal de la personne : saints chrétiens et Parfaits taoïstes » ; « Monisme taoïste et monothéisme biblique : les enjeux » ; « La nature du sacrifice ».
Cet enseignement s’adresse à des personnes ayant déjà acquis des bases en chinois moderne (une 60aine d’heures de cours).
Ce cours abordera la période, toujours en cours, de l’adaptation des religions à la modernité « aux couleurs de la Chine ». Seront abordés : le taoïsme, l’Islam et le protestantisme évangélique. Le cycle sera clôturé par un regard sociologique porté sur des pratiques « civiques ».
La calligraphie est un art essentiel en Chine, elle se lie intimement avec la peinture chinoise. Les matériels tels que les pinceaux, l’encre, les papiers de riz etc. entretiennent ce lien avec la nature.
La calligraphie est un art essentiel en Chine, elle se lie intimement avec la peinture chinoise. Les matériels tels que les pinceaux, l’encre, les papiers de riz etc. entretiennent ce lien avec la nature.
Jésuite, docteur en théologie et en science politique, vit en monde chinois depuis 1992. Directeur de l’Institut Ricci de Taipei de 1996 à 2009. Depuis cette date, il est professeur d’anthropologie religieuse à l’Université Fudan, à Shanghai.
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