Foi, morale et politique selon Augustin
Augustin aborde la question morale dès sa confrontation aux manichéens. Dans Les mœurs de l’Église catholique, il expose le contenu de la morale chrétienne, en s’appuyant sur la raison, puis sur l’Écriture. Dans Le libre arbitre, il définit l’acte mauvais et affirme l’existence du libre arbitre. Les fondements de sa réflexion éthique sont posés.
Dans le débat avec les donatistes puis avec les pélagiens, la question centrale est celle de la foi et des œuvres. L’acte bon est celui qui procède de la charité : « Aime et fais ce que tu veux ».
Dans la Cité de Dieu, Augustin oppose la cité céleste qui en ce monde vit de la foi à la cité terrestre qui se glorifie en elle-même : l’une cherche la paix éternelle, l’autre la paix temporelle, mais les deux cités sont mêlées en ce monde.
Avec ces enseignant(e)s :
60 % jeunes de moins de 30 ans
30 % demandeurs d’emploi
20% deux personnes composant le couple
(un justificatif pourra être demandé)