Spinoza, les lettres sur le mal
La correspondance avec Blyenbergh
La Correspondance fait partie intégrante de l’œuvre du philosophe. Les lettres échangées avec Blyenbergh sur une période brève (1664-1665), alors qu’il n’a encore publié que les Principes de la philosophie de Descartes, provoquent Spinoza sur des points aussi fondamentaux que Dieu, le mal, la liberté. Dans une argumentation rigoureuse, il caractérise l’attitude philosophique par rapport à la religion. Le conflit se fait alors de plus en plus pressant avec l’interlocuteur, jusqu’à la rupture, il témoigne déjà de la crise ouverte par Spinoza dans les débats de la modernité.
Bibliographie
bibliographie : Spinoza, Correspondance, Présentation et traduction par Maxime Rovere, GF Flammarion
Avec ces enseignant(e)s :
60 % jeunes de moins de 30 ans
30 % demandeurs d’emploi
20% deux personnes composant le couple
(un justificatif pourra être demandé)